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Une bonne Tribune libre sur les valeurs du sport, c’est un peu comme un essai transformé depuis ses 22 mètres dans le débat public : ça ne marque pas à tous les coups, mais quand ça passe, ça change la donne. Marquantes, anonymes ou atypiques, les Tribunes ouvrent des débats de fond.
On se souvient tous des Tribunes marquantes. Libres et engagées. En 1998, celle d'Éric Cantona dans Libération « Les mouettes suivent le chalutier… » (sur l’équipe de France et l’immigration) ; elle a forcé tout un pays à parler de racisme et d’identité via le foot. Remarquée aussi celle du Collectif de 500 sportifs français (Gwen Le Goff, Béatrice Hess, etc.) dans Le Monde « Plus jamais ça » (contre les violences sexuelles dans le sport). Une Tribune qui a accéléré la création de la cellule de signalement ministérielle et changé la loi. Ou en 2022, celle de Marie-José Pérec et Jean Galfione dans L’Équipe « Arrêtons de sacrifier nos enfants sur l’autel de la performance » qui a remis au centre le débat sur la maltraitance dans les pôles espoirs.
Pourquoi ces tribunes fonctionnent particulièrement bien sur le thème des valeurs du sport ? Elles viennent souvent d’une parole authentique et incarnée (l’auteur a vécu le sujet dans sa chair). Elles arrivent au bon moment (juste après un scandale ou un événement marquant). Elles parlent à la fois au cœur et à la raison : émotion + arguments étayés. Elles obligent les institutions à répondre (ou à se taire, ce qui est tout aussi parlant).
Les Tribunes libres publiées sur la plateforme mercilesport.fr donnent, elles, une voix à ceux et celles qui n'ont presque jamais de micro tendu : les entraîneurs de quartier, les éducateurs bénévoles, les parents de sportifs, les anciens athlètes oubliés, les arbitres, les médecins du sport, les sociologues… Une tribune libre est souvent leur seule possibilité de s’exprimer publiquement. Elles créent des débats de fond là où il n’y a souvent que du résultat brut.
Elles dépassent le « qui a gagné ? » pour poser des questions de sens : insertion, esprit d'équipe, argent roi, violence, mixité, inclusion du handicap, etc.
Elles ont un pouvoir de « contre-feu » face à la communication officielle des fédérations, des clubs, des sponsors qui ont des services de com très rodés.
Reprises sur les réseaux sociaux, elles touchent beaucoup de lecteurs en très peu de temps et une bonne Tribune devient parfois virale.
Ces Tribunes ont d'autant plus de "valeur" que des signatures connues les côtoient. En 2025 merci le sport a notamment accueilli dans ses colonnes Laurence Fischer triple championne du monde de karaté au service des femmes et fondatrice de "Fights for Dignity", Thierry Braillard ancien secrétaire d'état au Sport et président de la Fondation du sport français sur le thème "renforcer l'autonomie financière du tissu associatif" ainsi que Frédéric Thiriez l'ancien patron de la LFP à la tête du Conseil national de l'éthique nous rappelant que "l'interdiction du voile est fondée sur les valeurs du sport".
Enfin deux Tribunes atypiques : Arnaud Gandeur, l'un des dirigeants de France Travail, a affirmé sa mission "mettre le doigt au coeur de l'accompagnement vers l'emploi". Last but not least Jean-Francois Bernadini (président-fondateur de l'ONG Umani), le leader corse d'I'Murini nous a chanté son credo "la non-violence nous reconnecte avec notre humanité" et "J'ai envie de dire Merci au Sport et Merci aux éducateurs.
" Des Tribunes en forme de voeux !
Bernard Jambon - président-fondateur Merci le Sport