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le 2 novembre
La suppression de la taxe d’apprentissage pour certaines associations augmente leur vulnérabilité ! L'action “sport pour le plus grand nombre et ses valeurs" serait la grande sacrifiée.
Suivant le projet de loi de finances ( PLF) pour 2026, les risques sont réels et la suppression de cette exonération représente un facteur aggravant pour la fragilité des associations sportives, surtout celles de petite taille, dans les zones moins dotées et qui sont déjà sous pression budgétaire.
Les associations qui emploient des salariés peuvent être redevables de la taxe d’apprentissage, mais bénéficient souvent d’exonérations selon leur nature ou leur statut. Suite au projet de loi de finances pour 2026, il est prévu de supprimer l’exonération de la taxe d’apprentissage pour certaines associations, notamment celles bénéficiant du régime de la franchise pour leurs activités lucratives accessoires ou d’intérêt local. Le secteur associatif et plus spécifiquement le sport est déjà sous tension : baisse des budgets « Sport, jeunesse et vie associative », fragilité des clubs à budgets modestes.
Les effets concrets de cette suppression d’exonération seraient :
1. Augmentation des charges pour les clubs et associations sportives
Si une association jusqu’ici exonérée doit maintenant payer la taxe d’apprentissage, cela représente une charge fiscale supplémentaire. Pour des petits clubs ou associations employeuses avec budget serré, cela peut peser fortement.
2. Ressources comprimées = services réduits
Les associations sportives fonctionnent souvent avec des marges très faibles. Comme le rappelle une fiche sur le financement des clubs : le budget moyen d’un club fédéré est d’environ 52 700 € (et 63 % en dessous de 10 000 €). Si les charges augmentent, elles devront compenser soit par hausse des cotisations, soit par réduction d’activités, d’entraînements, etc.
3. Effet sur l’accès au sport pour tous
Les associations sportives assurent la pratique sportive « pour tous ». Une hausse de coût ou une réduction d’activité peut réduire l’offre, notamment dans les territoires moins favorisés.
Le communiqué d’alerte sur le PLF 2026 signale que « c’est l’action “sport pour le plus grand nombre” qui est la grande sacrifiée ».
4. Effet chaîne sur les bénévoles, les salariés, l’équipement
Si un club voit ses finances se resserrer, cela peut impacter : le nombre de salariés ou leur statut, le recrutement et la formation de bénévoles, l'entretien/modernisation des équipements sportifs (qui sont déjà souvent vétustes). Tous ces éléments fragilisent la pérennité des associations.
Le montant additionnel de taxe que l’association devra payer dépendra de leur masse salariale, du régime exact et du nombre de salariés. Ce n’est pas la même situation pour tous.
Certaines associations ne bénéficiaient pas de cette exonération ou la bénéficiaient dans des conditions limitées. Il faudra voir le périmètre exact de la suppression.
Cela peut aussi inciter certaines associations à revoir leur modèle économique, à optimiser ou fusionner, ce qui peut avoir des effets positifs ou négatifs selon les cas.
Cela ne va pas automatiquement conduire à la disparition massive d’associations sportives, mais cela augmente fortement la vulnérabilité, et peut entraîner : réduction d’offre de pratique, augmentation des coûts pour les adhérents, ou renoncement d’activités.
(Illustration IA Gemini)